Les enchères existent depuis des siècles. La méthode consiste à faire une offre plus élevée que la mise, puis aux différents prix énoncés. Le plus offrant bénéficiera de l’objet mis aux enchères.
Les enchères se déclinent en plusieurs catégories. Les antiquaires découvrent souvent leurs pièces rares au cours de ces événements. La séance est présidée par un commissaire-priseur. Les articles mis en vente sont préalablement triés en fonction des prix. Ceux considérés comme les plus coûteux passeront en premier.
Le concept d’enchère est présent dans de nombreux domaines, s’il était réservé au secteur agricole dans le temps. En théorie, quatre types d’enchères se démarquent. Le premier est l’enchère à un tour sous pli cacheté. L’offre est remise sous enveloppe au commissaire-priseur ou par le biais d’un courriel. Toutes celles qui ont été déposées sont décortiquées et la plus élevée remporte le match. Ce principe est assez peu courant dans le cadre des antiquités sauf pour les pièces d’exception. Il est surtout utilisé dans le cadre des appels d’offres du marché public, entre autres.
Les enchères à plusieurs tours, sous plis cachetés, ne mettent pas les enchérisseurs en contact entre eux. Ce type de formule est très couramment utilisé dans la vente de timbres de collection. Google fait également appel à ce système pour la mise en vente de ses espaces publicitaires sur les pages de recherche.
Suite à l’estimation antiquité, les professionnels peuvent recourir à l’enchère où le vendeur propose un produit donné et les acheteurs proposent leur prix. Il y a aussi la formule de l’enchère inversée qui consiste pour l’acheteur à rendre publique son offre par le biais d’un cahier de charge. Il les envoie ensuite aux vendeurs concernés. Un contrôle strict a été mis en place pour éviter les abus qui ne manquent pas de découler de ces ventes aux enchères assez particulières.